Redoutes de Noiréchine : Différence entre versions
m (Corr.) |
(corr) |
||
| Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
{{RavenGuardBox}} | {{RavenGuardBox}} | ||
| − | + | Les '''Redoutes de Noiréchine''' sont un réseau de défense de [[Délivrance]], servant également de lieu où la [[Raven Guard]] supervisent l'entrainement des [[FDP]] de Délivrance et de [[Kiavahr]]. {{N|1}} | |
==Localisation== | ==Localisation== | ||
| − | Les '''Redoutes de Noiréchine''' constellent la face noire de | + | Les '''Redoutes de Noiréchine''' constellent la face noire de Délivrance. {{N|1}} |
==Description== | ==Description== | ||
| − | Les nombreux bastions, batteries Skyfire et le réseau de tranchées entourant les mines et spatioports de Délivrance constituent les '''Redoutes de Noiréchine'''. Le [[Chapitre]] ayant gardé de nombreux liens avec les populations où elle recrute continue de puiser dans les ressources technologiques de Kiavahr et Délivrance et adapte les [[SCS]] à ses besoins. En échange, des émissaires sont envoyés pour entrainer les FDP. {{N|1}}<br> Bien qu'ils ne puissent pas rivaliser avec les [[Space Marines]], les tactiques furtives de la Raven Guard peuvent facilement être | + | Les nombreux bastions, batteries Skyfire et le réseau de tranchées entourant les mines et spatioports de Délivrance constituent les '''Redoutes de Noiréchine'''.<br> |
| + | Le [[Chapitre]] ayant gardé de nombreux liens avec les populations où elle recrute continue de puiser dans les ressources technologiques de Kiavahr et Délivrance et adapte les [[SCS]] à ses besoins. En échange, des émissaires sont envoyés pour entrainer les FDP. {{N|1}}<br> | ||
| + | Bien qu'ils ne puissent pas rivaliser avec les [[Space Marines]], les tactiques furtives de la Raven Guard peuvent facilement être adaptées aux troupe de Délivrance. Afin de capitaliser sur ce fait, les '''Redoutes de Noiréchine''' possèdent un dédale de places fortes dissimulés, de corridor secrets et de faux remparts qui permettent aux défenseurs de déjouer les manœuvres de l'ennemi sans trahir leur propre position. {{N|1}}<br> La garantie que ces défenses feraient subir de lourdes pertes aux envahisseurs est importante car le [[Secteur Forsarr]] fait face à de nombreux périls. Après la [[Waaagh! Garaghak]] et les vrilles de la [[Flotte-Ruche]] [[Kraken (Flotte Ruche)|Kraken]], le niveau de menace a encore augmenté depuis l'ouverture de la [[Grande Faille]]. {{N|1}} | ||
==Sources== | ==Sources== | ||
* {{N|1}}: [[Codex Supplément: Raven Guard (8ème édition)]]; pp. 8, 9 | * {{N|1}}: [[Codex Supplément: Raven Guard (8ème édition)]]; pp. 8, 9 | ||
Version du 9 avril 2021 à 12:49
Les Redoutes de Noiréchine sont un réseau de défense de Délivrance, servant également de lieu où la Raven Guard supervisent l'entrainement des FDP de Délivrance et de Kiavahr. 1
Localisation
Les Redoutes de Noiréchine constellent la face noire de Délivrance. 1
Description
Les nombreux bastions, batteries Skyfire et le réseau de tranchées entourant les mines et spatioports de Délivrance constituent les Redoutes de Noiréchine.
Le Chapitre ayant gardé de nombreux liens avec les populations où elle recrute continue de puiser dans les ressources technologiques de Kiavahr et Délivrance et adapte les SCS à ses besoins. En échange, des émissaires sont envoyés pour entrainer les FDP. 1
Bien qu'ils ne puissent pas rivaliser avec les Space Marines, les tactiques furtives de la Raven Guard peuvent facilement être adaptées aux troupe de Délivrance. Afin de capitaliser sur ce fait, les Redoutes de Noiréchine possèdent un dédale de places fortes dissimulés, de corridor secrets et de faux remparts qui permettent aux défenseurs de déjouer les manœuvres de l'ennemi sans trahir leur propre position. 1
La garantie que ces défenses feraient subir de lourdes pertes aux envahisseurs est importante car le Secteur Forsarr fait face à de nombreux périls. Après la Waaagh! Garaghak et les vrilles de la Flotte-Ruche Kraken, le niveau de menace a encore augmenté depuis l'ouverture de la Grande Faille. 1
Sources
- 1: Codex Supplément: Raven Guard (8ème édition); pp. 8, 9
